Le ministre dépêche aussitôt deux régiment de la garde nationale sous le commandement du général Robespierre venu offrir ses services au même moment.
Les régiments prirent positions dans le bois de Boulogne et massacrèrent les Prussiens lorsque ceux ci s'avancèrent à portée. Le combat se poursuivi de nombreuses heure pour qu'enfin l'attaque Prussiens soit repoussé. Le bilan était nettement en faveur des français avec 1 français tombé pour 3 Prussiens.
Malheureusement c'est aussi à ce moment là que la nouvelle d'une autre attaque Prussienne plus au nord fut connu.
Les Prussiens bénéficiant du chaos provoque par l'attaque venant du sud avait fondu sur le Fort du Mont Valérien. Défendu par les rescapé du désastre de Buzenval celui-ci ne mis guère de temps à tomber.
Au même moment la garde Uhlan épaulé par le 4ème corps de la 4ème armée Prussienne traversait la seine à Neuilly sur seine et perçait en brèche dans l'enceinte de Paris. Les régiment de la garde nationale et les quelques milices commencèrent à se débander dès le premier assaut Prussiens.
Menacé d'être pris en tenaille les régiments de la garde nationale de Robespierre un instant auparavant triomphant se virent contraint de retraité à l'intérieure des murs.
Contournant au pas de course l'axe de l'avancée prussienne, ils regagnèrent le ministère de la guère d'ou la défense s'organisait lentement.
Malheureusement au même instant le commandant de la garnison de Paris pris de désespoirs annonçait la reddition de la ville. Aussitôt les 2 derniers régiments d'infanterie qui se battait encore dans Paris rendirent les armes laissant les milices et la garde nationales seules face aux Prussiens.
Voyant la situation mal avancé, la défense de la garde établis ses dernière barricades autour des point névralgique de la capitale : le ministère de la guerre ou le général commandant la garde nationale de Paris tentait désespérément d'organiser la resistance, l'assemblée nationale, que Robespierre essayait de proteger le plus longtemps possibles et enfin l'hôtel de ville.