les dernière heure de l'assemblée

Robespierre entra dans l'assemblée couvert de sang, montât sur l'estrade de l'orateur et pris la parole. Le président n'osa même pas l'interrompre.

Messieurs vous ne le savez peut être pas encore mais l'affermissement de notre assemblée dans la poursuite de la guerre vient de provoquer l'assaut Prussien de la capitale. J'ai moi même menée victorieusement la première contre attaque contre cet assaut malheureusement au même moment ou je parvenait à vaincre l'ennemi j'apprenais qu'il avait pénétrer ailleurs les défenses de notre ville et avançait inexorablement dans paris.

Menacée d'une prise en tenaille je me suis replié vers le centre pour défendre la ville de l'intérieure. Malheureusement ce fut aussi pour apprendre que l'armée française régulière venait de déposer les armes.

Actuellement les seules forces organisée qu'il nous restes sont les unité de la garde nationale dont mes deux régiment actuellement en de monter des barricades autour de l'assemblée nationale.

Le peuple de Paris résiste tant qu'il peut mais je crains que la fin ne soit déjà écrite si nous persistons ainsi.

Alors mes chère collègues qui avez pris tant a cœur de joliment parler de défense nationale, de résistance sans jamais oser prendre les armes que dois je faire maintenant? Dois je obéir à ma hiérarchie qui commande que je dépose sans attentes les armes? Dois je suivre mes hommes qui veulent mourir en défendant jusqu'au bout notre République?

HJ : Robespierre j'ai recoler ici ton message

Monsieur le président, messieurs les députés,

J'espère que tout le monde est maintenant au courant que Paris ne va pas tarder à être un tas de cendre vu l'acharnement des bonapartistes et des prussiens et malgré la bravoure de nos hommes. Mais pour qui se battent nos hommes? La France a été usurpée et trompée par ce "Napoléone" qui n'a rien de commun avec son à peine plus illustre prédécésseur. C'est son misérable orgeuil qui nous a entrainé dans cette folie. Nous nous sommes battus pour un misérable fou, timoré dans ses entreprises , et maintenant on nous demande de nous faire tuer pour lui.

La république dit NON! Arrêtons de croire que Bonaparte c'est la France! L'Empereur a eu sa guerre, il est maintenant avec son ami Bismarck, qu'il cesse maintenant de reclamer toujours plus de sang! Les Prussiens eux-même ont offert des conditions de paix dès la reddition de Napoléon, pour bien montrer que c'est les Bonapartes et non la France qui ont voulu faire la guerre aux prussiens!

Il est grand tant de mettre les incompétents devant les tribunaux et de renvoyer nos braves soldats, que l'on veut encore envoyer à la mort inutilement, chez eux!

Ma proposition est simple!

1. Abrogation pure et simple du dernier vote de l'assemblée nationale concernant la poursuite de la guerre
2. Mise en accusation du Prince-Président Bonaparte et Maréchal Bazaine pour incompétence criminelle
3. Cessation immédiate des hostilités et ouverture des négiciations de paix avec l'allemagne

C'est la France qui est saignée à blanc, nos hommes qui sont cruellement massacrés en dépit de leur incroyable courage! Il est tant de mettre fin à cette absurdité.

Votons la PAIX!

hj: corrigé

Léon Gambetta se lève visiblement indigné par les propos du député républicain.

Ainsi donc Monsieur vous désirez avilir notre République à la solde de la monarchie Prussienne, une république que vous prétendez défendre par la voie de la défaite! Jouez le jeu de Monsieur Thiers tant qu'il vous plaira, bientôt Chambord règnera ici avec les Prussiens pour garde personnelle et vous n'aurez peut être pas l'impudence de nous ressasser votre discours infamant. Nous, véritables républicains, exigeons la mise en demeure des généraux défaitistes et la nomination de nouveaux cadres de l'armée. Si l'armée du petit Napoléon s'est vue défaite c'est parce qu'elle servait la cause injuste d'un potentat décrépit. Les citoyens de la république sauront bouter les Prussiens hors de France comme ils le firent en d'autres temps glorieux.

Qu'aurait on fait du beau projet de la jeune république si, sans attendre Jemapes et Valmy nous avions déposé les armes face à Brunswick?

Monsieur, vous prétendant républicain je vous enjoins à recouvrer la raison. Nous sommes tous ici bas secoué par l'arrivée des Prussiens. Ce n'est pas une raison pour céder à la panique. Nos enfants, la postérité seront là pour juger nos actes avec la même sévérité que nous le fîmes pour nos ancêtres.

HRP:Dans cette version l'assemblée est restée à Paris Charles Flayelle. Modifie ton rp, merci.

Défaite, défaite c'est vite dit, tout dépend de qui l'ont considère comme ayant été défait! Oui c'est une défaite pour la sottise et les dynasties orgueilleuses qui pensent que leurs prestige passe avant l'interêt du peuple!

Monsieur le Député, si vous tenez tant à faire couler le sang, vaut mieux que cela soit celui des prussiens car pour l'instant ce sont bien des français qui meurent en masse. Et pour cela, vaut mieux toujours cesser le combat pour mieux se battre plus tard.

Faisons le point : il n'y a plus aucun front qui tiens tête aux prussiens, notre armée, insuffisamment préparée et armée, se bat avec courage mais dans un combat perdu d'avance. D'un autre côté, la prusse offre des conditions de paix! Les prussiens qui pourraient encore faire revenir le pays au moyen-âge préfèrent négocier la paix!

Alors, ou est notre interêt là-dedans? La république doit sauver ce qui peut encore l'être pour pouvoir mieux se battre plus tard. Diplomatiquement nous sommes isolés, militairement nous sommes défaits, et du sang Français coule à flot dans les flandres et dans la seine.

Signons la paix avec les allemands, reglons nos comptes avec les incompétents qui nous ont menés là où nous sommes. Ce n'est qu'après qu'il faut envisager de reprendre le combat avec la prusse. Continuer le combat pour vaincre est pour l'instant totalement surréaliste!

Franchement agacé, Gustave se leva et s'insurgea :
Monsieur Flayelle, aimez vous votre patrie ? En vous écoutant, on commencerait à en douter, car qui de ceux qui aiment la France la prostituerait aux Prussiens ? Qui la leur donnerait

Oui, M. Flayelle, je le reconnais, la situation de la France n'est pas des plus reluisantes, cependant, par le passé, nous avons connu bien pire. Tout les républicains ici, connaissant parfaitement leur histoire, savent que la République nouvellement proclamée en 1793 devait faire face à de plus grands problèmes, oui, des chouans aux autrichiens en passant par les fédéralistes, elle était submergé ! Mais s'est elle pour autant donnée aux ennemis ? Non ! Elle a tenu vaillamment ! Mais que fit elle ? A t-elle garantie libertés et droits à tout ces citoyens durant cette guerre ? Non ! Un agneau ne peut pas tuer un loup ! Enfin, messieurs les républicains, vous avez perdu la vigueur d'antan.

La situation est tragique, il est vrai, mais on peut la relever en prenant des mesures rigoureuses ! Quand on veut, on peut, n'est ce pas messieurs les députés ? Mais voulez vous vraiment gagner cette guerre ? Vous donnez vous tout les moyens pour la gagner ? Je pense qu'en de tels temps, il faut appliquer les vieilles maximes qui ont forgé la politique de notre nation, ainsi, je vous citerais Machiavel :
« La fin justifie les moyens »
Oui, pour gagner cette guerre nous devrons prendre des mesures radicales pendant un moment, mais la victoire les justifiera tous !

Il faut gagner cette guerre, pour cela je propose plusieurs mesure :
Premièrement la chambre et le gouvernement se retireront à Bordeaux
Deuxièmement un nouveau gouvernement plus dur, plus sévère, plus martial, plus pugnace, remplacera le doux gouvernement de M. Thiers
Troisièmement, pour remporter cette guerre, les mesures que j'ai proposé s'impose je pense...

Car, voyez amis députés, où nous a mené votre politique ! Paris est bientôt aux mains des Prussiens ! Le joyau, la fierté de la France, tout cela parce que vous ne voulez pas vous montrer justement dur en ces temps, tout cela parce que vous gérez le pays comme si il était en temps de paix !

Il faut agir avant que ce ne soit toute la France qui soit prise et pillée !

Mais monsieur Cardet vaez vous bien compris la situation?

Vous voulez des mesures urgentes soite ! Voici un fusil et un couteau libre à vous d'arreter l'amrée Prussienne.

Pour ce qui est du transfert de l'assemblée à Bordeaux. O c'est une grande idée mais allez y sans moi. Je doute très sincèrement que les Prussiens vous laisse passer sans rien dire.

Un transfert par balon peut être? Outre le risque de perdre en un seul coup la totalité des député cela risque de s'avérer difficile. Je doute que les combat à l'intérieur de la ville nous laisse suffisament de temps pour y parvenir.

Ahhh quand je pense que si quelques un parmis vous s'étais seulement bouger les miches pour aller demander un commandement au ministère de la guerre nous n'en serions peut être pas là.

Soit vous avez préferer rester bien au chaud à l'assmeblée maintenant il est trop tard! Paris va tomber nous n'y pouvons plus rien. De deux chose l'une, soit nous combatons jusqu'a la mort mais c'est la fin de la France, soit nous demandons une armistice sur le champs.

J'appuis totalement la proposition de Monsieur Flayelle.

L'heure n'est plus a la question de la guerre ou de la paix, l'heure est à la question de savoir s'il faut vivre ou mourir.

Il n'y à pas de trahison à conclure la paix ! Cette paix à été voulu par les traitres et les bonapartistes! Ce sont eux qui l'ont perdu. La République elle doit sauver le peuple Français!

/tique en entendant le lapsus final de Robespierre, mais se lève comme même pour applaudir le député en lançant des bravo, et en enjoignant ses voisins à faire de même/

/Une fois rassis/

Monsieur Cadert, je crains malheuresement être parmi les derniers à aimer à mon pays. A ne pas vouloir le voir être entérré sous les cendres, à ne pas vouloir mes concitoyens tués en masse! A vouloir sauver la France!

On ne pas en dire autant des Bonapartistes qui ne voit dans cette guerre que l'honneur du bouffon Napoleon. Vous confondez la dynastie des Bonapartes et La FRANCE. La France, la vraie, pas celle d'un usurpateur ayant fait miroiter le spectre du grand napoleon pour s'approprier le pouvoir pour lui seul et mener le pays à la ruine.

Oui, je ne doute pas que monsieur le Prince-Président était de bonne foi. Mais, et je suis désolé de le dire, c'est un homme très très timoré... à la limite de l'idiotie. Et cette guerre, c'est la goutte d'eau de trop.

Vous voulez monsieur Cadert que la France ne soit pas prise ou pillée. Mais c'est précisément pour cette raison qu'il faut signer la paix au plus vite pour renvoyer les prussiens dans leur pays de malheur. Nous devons balayer la porte devant chez nous avant de s'occuper de celle des autres. Et ce n'est qu'après avoir regler les comptes avec nos propres incompétents que nous reglerons nos comptes avec les prussiens.

Pour ce qui est du retrait de Paris, je serais plutôt favorable, mais pourquoi aller jusqu'à Bordeaux? Thours est déjà suffisamment loin des prussien pour un retrait. L'objectif d'un tel retrait est de pouvoir garder une marge de manoeuvre lors des négociations après la céssation des hostilités. Mais il est plus que primordiale de faire arrêter le bain de sang dans les plus brefs delais. C'est pourquoi je réitère vivement ma proposition.

Les monarchistes sont maintenant unanimes sur la question, il faut deposer les armes et conclure une armistice avec les Prussiens au plus tôt.

/ Le modeste député Jean Foucault de Povence se lève dans l'assemblée, lève les mains au ciel pour appeller au calme et pour attirer l'attenion /

J'ai il y a quelque temps soutenue la Paix,demandé l'ouverture de pourparlers pour sauver ce qui pouvait l'être. Lorsque Paris Tombera et que l'ennemi éxigera un Tribut impossible, j'exigerais pour ma part que vous soyez ceux qui payeront les premiers !

Thiers reprend la parole

Messieurs les député vous avez maintenant l'occasion de revenir sur
le précédent vote. J'ose espérer que vous en ferez bon usage.


Il nous faut maintenant voter une armistice avec les Prussiens, ainsi que ce décret que je vous avais déjà exposer afin que mon gouvernement et moi même puissions mener les négociation.

Citation :

"l'Assemblée nationale, dépositaire de l'autorité
souveraine,

Considérant qu'il importe, en attendant qu'il soit statué
sur les institutions de la France, de pourvoir immédiatement aux
nécessités du gouvernement et à la conduite des négociations,

Décrète :

M. Thiers est nommé chef du pouvoir exécutif de la République
française ; il exercera ses fonctions, sous l'autorité de
l'Assemblée nationale, avec le concours des ministres qu'il aura
choisis et qu'il présidera."

Monsieur le Président je suggère que nous passions au vote sans plus attendre.



Le président de l'assemblée

Bien puisque personne n'a plus rien à ajouter et devant le rapprochement des bruits de combats je vous demande de passer au vote.

Robespierre essui le sang qui goute de son front

POUR

J'espère que M Thiers que vous serez à la hauteur de la tâche.

POUR

Contre !

Les nationalistes et bonapartistes restants, dans l'ensemble largement résolus votent "contre" avec gravité.

Les monarchistes votent en masse pour



Louis Adolphe Thiers : POUR



Jacques Victor Albert, duc de Broglie : POUR



François Ferdinand d'Orléans : POUR

Henri Eugène Philippe Louis
d'Orléans, duc d'Aumale : POUR

Nicolas Changarnier : POUR



Le duc Edme-Armand d'Audiffret-Pasquier : POUR



Marie Edme Patrice Maurice Mac Mahon : POUR

Mgr Félix Dupanloup : POUR
Quelques très rares députés s'abstiennent mais aucun ne vote contre.

Se prononce Pour !

/applaudit bruyamment les républicains qui votent pour/

Pour l'Honneur de la France : CONTRE

/siffle copieusement Pierre Serra et attend avec un soupçon de nervosité la fin du vote/

Un fonctionnaire :

Messieurs, le vote est définitivement clos. Le décret est accepté par 61% des votants

M. Thiers est nommé chef du pouvoir exécutif de la République
française ; il exercera ses fonctions, sous l'autorité de
l'Assemblée nationale, avec le concours des ministres qu'il aura
choisis et qu'il présidera.

Monsieur Thiers peut désormais continuer à travailler et essayer d'établir des négociations pour que la France signe la paix avec la Prusse.

Thiers se lève et prend la parole.

Messieurs les députés.

Je vous remercie grandement. Non seulement vous avez fait le choix éclairé de la négociation, mais vous m'avez également accordé votre confiance. Je ne vous décevrait pas !

En temps que chef de l'exécutif je vais faire le necessaire pour que cesse sur le champs les combats.

Sort précipitament.

HJ : Les pjs qui souhaitent suivre Gustave Cadert sont invités à me prévenir par mp. Merci